Le discours du maître qui prévalait dans les sociétés régentées par un ordre patriarcal et phallique, structurait l’ordre social par l’imposition d’une série de normes symboliques. Qu’en est-il aujourd’hui ? N’avons-nous affaire qu’à des sujets déboussolés ?
« Nous ne sommes pas de ceux qui s’affligent d’un prétendu relâchement du lien familial. […] » (1), nous préférons en analyser les conséquences que ce soit du côté des trouvailles ou des désastres. Nul déterminisme en la matière ! Chacun se construit avec les cartes qu’il a reçues et avec les choix qu’il opère aux différents tournants qu’il peut donner à sa vie !
C’est ce que nous verrons sous la plume tantôt drôle, voire ironique mais aussi tendre d’Emmanuelle Bayamack Tam dans son livre La treizième heure autour duquel se déroulera la discussion en présence de Camilo Ramirez, psychanalyste, membre de l’ECF et de l’AMP.
Cette treizième heure, en plus, en trop ou parfaitement décalée nous donnera le goût de l’écriture d’Emmanuelle Bayamack Tam, véritable hommage à la poésie, et nous conduira vers l’heure de PIPOL 11 !
Avec la participation de Céline Aulit, Nathalie Crame, Céline Danloy et Nadine Page
(1) Lacan, J., “Les complexes familiaux dans la formation de l’individu”, Autres écrits, Paris, Seuil, 2001 p. 60
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